Et si la nature vous donnait un petit coup de pouce ?
Orphyr est paysan.
Orphyr est paysan.
Un soir il quitte le bistrot de la Frédine, où il a bien bu. Sur le chemin du retour qui le ramène vers sa ferme, il rencontre La Dame Verte. Celle-ci lui fait un présent qui change son quotidien...
Le film, réalisé par Jonathan Degrelle, est tiré d'un recueil de nouvelles fantastiques intitulé "Les contes de la Dame Verte", écrit par Jean Le Mauve.
En premier lieu, on est agréablement surpris, de (re)découvrir ce conte Picard, au travers d'un habile court métrage. Force est de constater, que les prises de vue autant que les lumières sont maitrisées.
Les costumes, accessoires et décors nous emportent aisément dans un contexte rural de début de XIXème siècle. Le soucis du détail ne laisse transparaître nul anachronisme flagrant (peut être quelques femmes un peu trop bien peignées ou des costumes trop propres pour la vie campagnarde de l'époque). On se trouve très vite emporté dans ce conte, au côté d'Orphyr, le paysan, maladroit et naïf, qu'une fée bienveillante va vouloir aider.
Le jeu des acteurs sonne particulièrement juste : aussi bien Stéphane Ropa, en Orphyr, paysan porté sur la boisson, mais généreux, que Corinne Masiero, parfaite dans le rôle d'une tenancière de taverne cupide et malhonnête (digne des Thénardier dans les misérables de Victor Hugo), et qui va plusieurs fois essayer de profiter de la naïveté du héros.
Les costumes, accessoires et décors nous emportent aisément dans un contexte rural de début de XIXème siècle. Le soucis du détail ne laisse transparaître nul anachronisme flagrant (peut être quelques femmes un peu trop bien peignées ou des costumes trop propres pour la vie campagnarde de l'époque). On se trouve très vite emporté dans ce conte, au côté d'Orphyr, le paysan, maladroit et naïf, qu'une fée bienveillante va vouloir aider.
Le jeu des acteurs sonne particulièrement juste : aussi bien Stéphane Ropa, en Orphyr, paysan porté sur la boisson, mais généreux, que Corinne Masiero, parfaite dans le rôle d'une tenancière de taverne cupide et malhonnête (digne des Thénardier dans les misérables de Victor Hugo), et qui va plusieurs fois essayer de profiter de la naïveté du héros.
Qui plus est, nous avons trouvé la musique en parfaite adéquation avec l'ambiance du court métrage. A ne manquer, sous aucun prétexte, si vous aimez les mystères régionaux et les légendes féériques.
Si vous souhaitez suivre l'actualité de ce court-métrage voici le site : http://www.orphyr-lefilm.com/ et la page Facebook : https://www.facebook.com/groups/orphyr/?fref=ts
Le réalisateur Jonathan Degrelle nous a accordé un interview que vous pouvez retrouver ici : Interview de J.Degrelle.
Lord Kavern
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire